Chaque année en France, il y a 600 000 tonnes de vêtements neufs qui arrivent sur le marché, d’après l’« Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie » (Ademe), et seulement un tiers serait recyclé. Et en 15 ans (de 2000 à 2014), la consommation mondiale de vêtements a augmenté de 60 % alors que nous les gardons deux fois moins longtemps. C’est une constatation qui ne devrait pas enthousiasmer ceux qui ont la fibre écolo, mais qui plus généralement, nous concerne tous. Alors, quelles sont les raisons de cesser d’acheter des vêtements neufs et de se tourner vers le marché de l’occasion ?
Le saviez-vous ? momox lance momox fashion pour l'achat de vêtements d'occasion !
La production de vêtements neufs pollue énormément, entre la fabrication, les teintures, le transport… C’est une industrie qui consomme aussi énormément d’eau, avec quand même la troisième place mondiale, juste derrière la culture de blé et de riz (encore d’après l’Ademe). En ces périodes de sécheresse, cela a de quoi faire réfléchir, surtout que les vêtements ne se mangent pas (enfin, on vous le déconseille).
L’industrie textile génère également 4 milliards de tonnes d’équivalent CO2 par an, c’est plus que les vols internationaux et le trafic maritime mondial réunis (source Ademe). Pas très réjouissant tout ça, et pas besoin d’être un ardent défenseur de la salade de quinoa bio aux graines germées pour se sentir concerné par ces chiffres. En achetant des vêtements d’occasion, par exemple sur momox fashion, on agit donc directement en ne participant plus à ce désastre écologique.
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Comme le disait un philosophe des réseaux sociaux : « La question, elle est vite répondue ! », et c’est oui ! Les économies peuvent même être très importantes, et souvent bien plus intéressantes que les soldes. On pourra par exemple trouver des pièces de créateur à prix cassés ou des marques branchées avec de beaux rabais. Et en plus, il y en a pour tous les budgets, mais toujours à prix réduits. On le voit, acheter des vêtements d’occasion, c’est à la fois un petit pas pour l’écologie, et un grand pas pour le porte-monnaie. Et pas besoin d’aller sur la Lune pour en profiter, avec les sites de vente de vêtements d'occasion on est juste à un clic des bonnes affaires.
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Avec le développement du mouvement Slow Life (de la Slow Food à la Slow Fashion), de nombreuses personnes commencent à revoir leur mode de vie et leurs habitudes de consommation. Acheter d’occasion devient alors un petit acte de résistance face aux injonctions de nos sociétés à toujours produire plus et consommer plus vite. Et sans aller jusqu’à se transformer en Jean Moulin de la fripe, il est déjà possible d’avoir un impact positif à son propre niveau.
Finalement, grâce à la mode de seconde main, on peut dorénavant préserver la planète en évitant la surconsommation, tout en prenant soin de ses finances. Et évidemment sans oublier de se faire du bien, car comme le disait le fameux Karl Lagerfeld : "La mode n'est ni morale, ni amorale, mais elle est faite pour remonter le moral."
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